Mon opinion sur les avocats est faite

Comme promis, le lundi, la mairie m'appelle. Il y a un problème, votre nom est MULABRE dit LHERITAGE alors que le jugement indique MULABRE DIT LHERITAGE pour mon fils. Elle ne peut pas modifier l'acte de naissance.

Heureusement, elle a appelé Mme Morpar qui va joindre au plus vite (oui au plus vite) la juge pour savoir ce qu'il faut faire : échanger les comptes-rendus de jugement ou refaire un jugement. Dans ce cas, elle reprend contact avec mon avocate.

Je contacte tout de même mon avocate le mardi par mail. Je ne suis toujours pas déçu de la réponse. Elle appelle chez moi le mercredi ; tombe sur ma femme. Je n'ai que le compte-rendu de cet entretien :

• dans un premier temps, elle refuse de parler à ma femme alors que je suis injoignable pendant trois jours,
• elle lui demande de venir avec mon exemplaire du jugement afin de faire l'échange le lendemain 14h00 dans le bureau du juge
• Le mercredi à 15h00 ma femme devait se rendre dans le centre de Rennes avec les trois enfants. De toute façon, si on n'était pas d'accord ce n'est pas son problème, nous devrons payer pour un nouveau jugement.

Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais être menacé de cette façon par l'avocate me remémore les faits précédents :

• la lettre de l'avocate précédente soi-disant formidable. Elle est formidable pour l'avocate, elle renvoie à une requête
• quel est l'intérêt pour l'avocate de signaler l'erreur de frappe dans le jugement ? Avec un peu de chance, elle refacture un jugement.

Toujours est-il qu'un petit "excusez-moi de ne pas avoir été vigilante ? J'ai vu avec le juge qui accepte d'échanger les comptes-rendus demain 14h00." aurait été plus approprié.

Elle ajoute qu'il ne faut pas que l'on ait publié le précédent. C'est dommage, je l'ai fournit à une personne X dit Y ayant un fils enregistré à Lannion X dit Y à qui on refuse l'enregistrement de son second fils à Rennes. Le jugement étant un argument imparable pour son dossier. Je lui envoie un mail de mise en garde quant à ce jugement. Il ne me répond que tardivement.

Bref ! Le vendredi, l'avocate nous informe que l'échange est effectif et que l'acte sera corrigé d'ici un mois. Je n'ai pas toujours pas de nouvelle de X dit Y. Je prie pour qu'il n'ait pas envoyé le jugement erroné. Ou tout du moins que Mme Morpar ne le voit pas avant la correction de l'acte de mon fils.